• Je me suis envoyé le mauvais fichier. Résultat :
    impossible de poursuivre l'écriture de ma nouvelle histoire. Pas avant ce week-end. Par contre j'en ai écrit suffisamment
     pour up-loader dès que je ralume le pc qui garde ce fameux texte. Reste à savoir si je vais le faire... En toute rigueur, il faudrait que je le retouche un peu avant, mais je ne sais pas si j'en aurais le courage.

     
    Autre chose : Je me suis dit comme ça que le format blogg n'était pas idéal pour mettre en ligne une histoire par épisode. Je veux dire, pour celui qui prend en chemin, ça doit etre fastidieux d'aller chercher le premier morceau puis de remonter pour lire le second et ainsi de suite... Je n'ai pas l'intention de fermé ce blog, qui as au moins le mérite de montrer tout de suite quel est le dernier extrait sorti, mais je pensais à créer un site parallèle pour y mettre les textes archivé dans le bonne ordre.

    La solution serait peut etre d'apprendre un peu de html, de php et peut etre un zeste de mysql et de créer un site à moi! Mais bon, je vais plutôt aller dormir et remettre ma conquète du monde à un autre jour.


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  • Malgrès l'enthousiasme débordant dont vous m'avez fait preuve, chers lecteurs, en proposant moulte idées pour mais prochaines oeuvres, j'ai pris la lourde responsabilité de n'en retenir aucune (tiens donc...) et de n'en faire qu'à mon idée.

    Bref, trève de cynisme facile. J'imagine que c'est normal pour un blog aussi peu fréquenté de ne pas avoir beaucoup de retour d'expérience.

    Donc voilà, j'ai choisi le thème de ma prochaine histoire, dont le premier morceau sortira plus tard que prévu car j'essaye de faire quelque chose de plus construit cette fois et maintenant que la toile de fond est déssiné dans ma tête, il faut que je mette en scène les protagoniste après les avoir choisit, construit, etc... Bref, Tous ça me prend plus de temps que prévu et l'inspiration et surtout la concentration me font cruellement défaut ces jours-ci... (Le manque d'encouragement ne m'aide pas non plus :Þ )

    Il s'agit encore de science-fiction, mais un peu plus hard SF que pour SRW (ce qui n'était pas vraiment un challenge...) :

    l'histoire prend place à la fin de notre système solaire. Le soleil enfle lentement (question de point de vu) et engloutira bientôt Vénus, la Terre, puis Mars... L'humanité décide donc de construire de gigantesque vaisseau mondes pour fuir un système mourrant. (Pour changer, ce seras pas à cause de l'homme... ça devenait saoulant à la fin.) Voilà la trame de fond.

    Je ne sais pas quand je pourrais publier le début de l'histoire. Avec la reprise des cours, a va devenir dur de travailler sur ce projet. J'essayeraie quand même que ça avance plus vite que pour SRW. 


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  • Pour des raisons indépendantes de ma volonté, mon histoire SRW et momentanément (enfin, je veux dire, plus que d'habitude...) en pause.

    Néanmoins, l'envie d'écrire me démange, mais je manque un peu d'inspiration... Je pensait écrire une histoire dans un uniers différent histoire de varier un  peu (je pourrais toujours continuer dans l'univers que j'ai assemblé pour SRW - je n'ose pas dire créer - mais je pense que ça me gènerait plus qu'autre chose : déjà que mon imagination n'est pas facile à mettre en route, si en plus je doit lui imposé les restriction d'un monde existant, je suis pas sortie de l'auberge...)

    Bref, je vais gamberger ça et peut etre que je sortirais quelque chose dans la semaine... ou pas. (j'ai horreur des engagements.) Et puisque j'ai quelques lecteurs (si j'en crois la pages statistique de ce blog... parce que si je devait me fier au nombre de commentaires, j'aurais quelques doutes...) je me demande si vous auriez pas des idées sur ce que je pourrait écrire... (en SF à priori, mais vous pouvez toujours proposez autre chose.) Je previens tout de suite que le choix final n'appartiendra qu'à moi, ceci pour éviter toutes protestation si je ne suis aucune suggestions, si suggestion il y a.

    Voila, comme ça au moins, vous savez que ce blog n'est pas abandonné :) ( ni SRW d'ailleur ) J'en profite pour signaler que tous commentaire intelligent est bien venu ( voir même les non-intelligents ) surtout s'il me permet de m'amméliorer.


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  • Jack était, à Néo-Tortuga, ce qui s'approchait le plus d'un agent immobilier. C'est à dire qu'il revendait à prix d'or des cartes donnant les coordonnées exacte de repaire désaffecté et pillé jusqu'à la moelle – par ses propres soins lorsqu'il avait de la chance – mais sans les « clefs » qui ouvrait les portes du
    l'installation. De toute façon, si le client n'était pas assez débrouillard pour se débrouiller seul pour pénétrer là où déjà quelques chasseurs de trésors étaient déjà passé, il deviendrait vite un client pour Fiddledy, le fossoyeur. Si le client était consciencieux, il trouvait vite quelques mouchards soigneusement posés par Jack, et commençait à faire des travaux d'aménagement ne serait-ce que pour la forme, sous-peine d'avoir la mauvaise surprise un jour de ne plus trouver son magot péniblement gagner. Bien entendu, il était tout à fait possible que quelqu'un autre ai trouvé et
    vendu une autre carte à une autre personne pour le même repaire, mais ce n'était pas le problème de Jack : Néo-Tortuga n'était pas réputé pour le
    service après-vente.

    Ce jour là, Jack faisait sa tournée d'inspection à bord d'un petit vaisseau monoplace – armé bien entendu – pour repérer de nouvelles planques à piller et revendre, et pour ce tenir au courant de ce qu'il était arrivé de ses derniers clients. Le taux de mortalité élevé faisait les affaires de Jack : il avait déjà vendu trois fois la même carte ce mois-ci, suite au décès prématurés des locataires précédents. Il avait même récupérer une MS en parfait état de fonctionner après la mort du second groupes du mois, et l'avait revendu à un très bon prix.

    - Hé! Gros lard! Comment tu vas aujourd'hui? Mal j'espère...

    C'était la voix de Pols'yui, une ancienne cliente, sur le canal privé de Jack. Jack la considérait comme une bonne amie – c'est à dire qu'elle n'essayait de le tuer que la moitié du temps – et resta donc sur ses garde. La dernière fois qu'ils s'étaient croisés, ils avaient fait l'amour, et il était partie pendant qu'elle dormait. Ça ne l'aurait pas inquiété si il n'en avait pas profité pour lui voler un énorme diamant à ce moment là. Le plus inquiétant, somme toute, était qu'il n'arrivait pas à déterminer sa position.
    - Salut Poly, comment tu vas depuis là dernière fois, répondit-il en s'attendant à une réplique meurtrière au sens propres du terme.
    - Très bien tu pense. Tu sais combien de fois j'ai rêvé de toi
    depuis?
    - Sans blague?
    - Oui... Tu sais que tu es sexy quand tu crève?

    Évidement, pensa Jack. Enfin, elle n'avait pas encore ouvert le feu, c'était
    bon signe.
    - Tu as de la chance, repris Pols'yui, je suis de bonne humeur aujourd'hui. J'ai trouvé trois planque abandonnées pleine de cam. Ainsi qu'un truc marrant qui devrait t'intéresser. Je te file les coordonnées.
    - C'est quoi le piège?
    - Oh... Jack voyons, tu pense quand même pas que je te tuerais pour un
    simple morceau de carbone?
    - C'est précisément ce que je pense.
    - Hi hi... Tu n'as pas tord, mais pour cette fois, je passe l'éponge.

    Le MS de Pols'yui apparue soudain en fasse du vaisseau de Jack. C'était un assemblage hétéroclite de pièces trouvées ici et là. Jack lui avait fourni le torse qui provenait d'un Zaku, la tête provenait d'un Psybuster, les bras d'un NuGundam, la jambe gauche d'un Gundam Wing et la droite d'un GDSH. L'ensemble était un tas de boulons assez moche, mais il fonctionnait plutôt bien. Les armes changeaient à chaque fois qu'il voyait l'engin. Elle était cette fois équiper d'un 3-Charges Beam Cannon, et d'un Oxtan Launcher, très probablement ses dernières prise de guerre.

    - Comment as tu fait ça?! S'exclama Jack interloqué.
    - C'est un secret. Je vais certainement pas te le révéler ici

    Bien sur, le canal avait beau être « privé », il n'était pas confidentiel. Ce qui expliquait probablement l'apparition de la MS de Poly, pour établir une connections physique pour le transfert des données. Elle ne voulait visiblement pas que ses coordonnées tombent dans n'importe quelles mains. Bien sur, ça aurait aussi pu être une ruse pour détruire son vaisseaux facilement, mais ce n'était pas le genre de Poly. Non, si elle avait voulu l'attaquer, elle aurait pu le faire quand il ne la voyait pas.

    Le transfert fut effectivement effectué en connections directe. Quand le chargement fut effectué et que les deux engins se séparèrent, Poly lui dit
    - Tu devrais commencer par les dernières coordonnées, tu risque d'être surpris.
    - Merci. Hé, Poly! Tu fais quoi ce soir?
    - J'ai rendez-vous avec mon reselleur.

    La MS disparue alors aussi mystérieusement qu'elle était apparue. Jack décida
    que rester plus longtemps dans les parages n'apporterait rien de bon, et mit le cap sur les coordonnées indiqués par son amie.

    Il fut sur place en un peu moins d'une heure. Aux coordonnées indiquées flottait un astéroïde plus grand que les autres mais Jack ne voyait aucune entrée. Son scanner ne détectait aucun signe de vie, quoi que Jack ne s'était pas attendu à en trouver. Il ne détectait pas non plus d'activité électronique mais ça aussi, c'était prévisible : une station abandonnée depuis assez longtemps pouvait être privé d'énergie, le solaire n'étant pas très répandu dans le coin – trop voyant – d'autre part, il était fréquent que tous les systèmes électroniques se coupent d'eux-même au bout d'un certain temps d'inactivité dans un soucis d'économie.

    Jack entrepris de faire le tour de l'astéroïde pour repérer une éventuelle
    entrée, ce qui, estima-t-il, devrait lui prendre un bon quart d'heure s'il ne voulait pas passer à coté d'un détail qui lui serait utile. Il lui vint à l'esprit que Poly s'était peut être moquée de lui, mais si tel était le cas, il s'en tirait plutôt à bon compte. Il ne survolait l'énorme rocher que depuis deux minutes quand quelqu'un l'appela sur son canal privé. Une voix qu'il ne connaissait
    pas :
    - Bonjour Jack, c'est gentil de
    passer nous voir!

    Impossible de détecter la source de l'émission. Aussi invisible que Poly. Il espérait qu'il ne lui en voulaient pas pour l'une ou autre arnaque dont il
    était l'auteur.
    - Qui êtes vous, demanda-t-il finalement.
    - L'équipage de « chapeau de paille ».
    - Quoi?
    - Non, rien, laisse tomber. C'était une private jock. Mais entre donc, on sera plus à l'aise pour parler.

    Une porte était en effet apparue au milieu de l'astéroïde. Aucun mécanisme
    compliqué n'avait dévoilé la porte tendis qu'un morceau de rocher s'était écarté. Elle n'existait pas du tout puis elle était juste là, comme si elle y avait toujours été. Ce qui devait être effectivement le cas selon toutes logiques, mais Jack n'était plus bien sur de pouvoir se fier à la logique. Il cligna des
    yeux... Et une MS le regardait droit dans les yeux quand il les ouvrit. Il sursauta.
    - Nom de dieu!! Arrêtez de faire ça!

    Un rire joyeux lui répondit, tandis que la MS lui faisait signe de la suivre, ce qu'il fit. La porte était suffisamment large pour laisser passer une demi-douzaine de Gundam de front. Un champ de force assurait l'étanchéité du hangar qui autrement semblait être complètement ouvert sur le vide froid de l'espace. Quand il demanda pourquoi on ne rétablissait pas le
    camouflage, on lui assura que c'était déjà fait, mais il n'en fut pas réellement surpris cette fois-ci : il lui en faudrait désormais beaucoup plus pour l'impressionner. Même le chat noir qui traversa un couloir devant lui ne le fit pas réagir, et c'était pourtant drôlement étrange de trouver un animal de compagnie vivant dans ce système solaire. Des automates oui, mais rien qui puisse salir le mobilier où demander un entretien journalier. Et sûrement pas dans un astéroïde. Mais bon, après tout ce qu'il avait vu aujourd'hui, pourquoi pas? On le conduisait à la cabine du capitaine.

    L'homme qui le reçu était de taille moyenne, les cheveux noir en pagaille, les yeux verts vifs et la mine réjouis. Il été vêtu d'un manteau à épaulette qui devait symbolisé son rôle de capitaine. S'il l'avait croisé en des circonstances plus banales, Jack se serait frotté les mains en lorgnant sa prochaine victime. Mais les circonstances étaient loin d'être banales et Jack resta sur ses gardes. En outre, la poignée de main amicale que l'homme lui donna pour le mettre à l'aise lui donna l'assurance que l'homme pouvait dévisser n'importe quel écrou à main nues:
    - Je me présente : Par ici on me nomme « le corbeau ». J'ai quelques autres
    noms mais ça n'a aucune importance en ce qui vous concerne. Vous êtes Jack, « le promoteur », n'est-ce pas?
    - C'est bien ça. Je suppose que vous ne voulez pas connaître mon nom entier?
    - Ne l
    e prenez pas mal, surtout, mais j'en ai rien à ciré.
    - Ça m'arrange plutôt. Vous attendiez ma visite, non?
    - En effet. Nous avons charger Pols'yui de vous trouver et de vous mener à nous.

    - Ça n'a pas dû être simple...

    - Plus facile que vous semblez le penser : elle voulait votre mort au début, mais vous avez de la chance, nous avons réussit à la convaincre que vous connaître était une véritable aubaine pour elle et son porte-monnaie.
    - Ho, je vois. Bon, soyons direct : que puis-je faire pour vous?
    - On m'as dit que vous êtes le meilleur cartographe du secteur.
    - C'est à dire que je suis le plus appliqué... ça paye plutôt bien quand on s'y prend correctement. Bien sur, certain client garde un peu de ressentiment, mais jamais très longtemps.
    - C'est ce que j'ai entendu dire, oui.
    - Poly a toujours été trop bavarde, ça lui jouera des tours...
    - C'est vrai, mais vous sous-estimez votre renommées. Enfin bref, je vous propose de vous mettre à mon service. Je paye bien, et je peux éventuellement vous fournir quelques avantages technologiques.
    - Ma fois, cela me paraît intéressant... mais c'est un engagement à vie j'imagine.
    - Oui, à moins que je n'en décide autrement plus tard. Mais je pense que vous devriez
    vous plaire parmi nous...
    - Vous me laissez combien de temps pour réfléchir?
    - Deux jours.

    Jack resta pensif, les yeux fixés dans le vide. Sa vie de solitaire avait ces contraintes, mais il aimait aussi la liberté que ça lui conférait. D'un autre coté, il ne faisait pas grand chose de sa liberté. Vivre au sein de ce groupe pourrait être intéressant...

    Le corbeau le coupa dans ses réflexion :

    - Pols'yui a déjàrejoint notre bande.

    - Ah oui, c'est vrai qu'elle avait ce foutu camouflage!

    - Ça vous a plu?

    - C'était vraiment flippant! Il me faut le même absolument! Heu...

    Une pensée traversa l'esprit de Jack :
    - J'imagine que les règlement de compte entre membre du groupe ne sont pas tolérés.

    Le corbeau souris :
    - Si bien sur... tant qu'il n'y a pas de blessé grave.
    - Ah ben, j'imagine que c'est déjà ça de prit... Ok je marche!
    - Si vite?
    - Je préfère être un membre de l'équipe la prochaine fois que je verrais Poly.

    Le corbeau éclata de rire.

    Tandis qu'il prenait congé, Jack remarqua une photo sur la porte, à la hauteur de son visage. On y voyait le corbeau avec une femme et une petite filles aux cheveux roux sur une plage. Sur cette photo, le corbeau portait un
    chapeau de paille absolument ridicule.







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  • Néo-Tortuga*. Un nom exotique qui fait
    immanquablement penser à la mer, les tropiques, les trésors,
    l'aventure, mille dangers à braver et, moins souvent mais assez
    régulièrement aussi, la mort.

    Pour ce qui était de la mer et des tropiques, il y avait bien la
    planète Caraïbe dont la surface était recouverte à 90% d'eau – salée –
    et dont les dix pourcent restant était éparpillé sur la zone assez
    large, faisant le tour du globe et centrer sur l'équateur. Mais ce
    n'était qu'une petite planète relativement peu fréquentée pour cette
    région de la galaxie – c'est-à-dire qu'il y avait encore de la place
    libre sur les parties émergées pour creuser un ou deux cimetières
    supplémentaires.

    Pour les trésors, l'aventure, les milles dangers et la mort, ces
    denrées y étaient tellement abondantes qu'elles auraient provoqué un
    crash économique sans précédent si quelqu'un avait tenté de les faire
    coter en bourse.

    Néo-Tortuga, officiellement le système Nausicaä, était le repère
    d'une population de hors la lois, chacun d'eux ayant un caractère bien
    trempé, voir parfois imbibé d'alcool, ce qui était parfois bien plus
    dangereux en fin de compte. Cette population était installé là depuis
    plusieurs siècles – certain parle de millénaire – et de nombreuses
    génération de criminelle avaient largement eu le temps de mourir dans
    leur planque avec toutes leurs richesses du moment. Le résultat est que
    l'aventurier inconscient en quête de richesse trouve toujours dans ce
    système son lot de fausse carte stellaire, de vendeurs de matériel en
    tout genre véreux, de repères pillés cent fois et de morts violentes et
    toutes plus atroce les unes que les autres. Certains, toutefois, plus
    malins ou plus coriaces que leur congénères, survivaient assez
    longtemps pour trouver le trésor perdu d'un ancien pirates de l'espace
    et le raconter pour faire de la publicité à se genre d'activité. En
    générale pas beaucoup plus longtemps car les hommes riches assez fou
    pour le faire savoir ont souvent des accidents mortels, allez donc
    savoir pourquoi...

    La planète principale du système, rebaptisé La Perle Noire à cause
    de son aspect vu depuis l'espace, était un monde ruche construit sur la
    planète la plus proche de son étoile. Les ¾ de la planète était
    recouverte de structure de métal et de plastacier abritant plus de pub
    au kilomètre carré que l'antique temple bar de la terre – qui était
    aujourd'hui classé comme site historique. Pour des raisons évidentes de
    santé mental et d'instinct de survit, aucun être « sapiens » ne se
    tenaient derrière aucun des bars de la planète. A la place, les
    propriétaires y installaient des BOB – Biorobot d'Organisation de Bar**
    – et comptaient leurs bénéfices sur le quart restant de la planète en
    appréciant le sol de jais et le ciel étoilé en plein jour***. Les
    pirates qui décident de s'installer dans le coin préfère en générale
    une installation dans l'un des nombreux astéroïdes qui forme la
    ceinture entre la deuxième et la troisième planète du système. A dire
    vrai, il était bien moins dangereux de dormir dans une des multiples
    installations abandonnées sur l'un de ces astéroïdes que dans une
    chambre de l'un des quelques hôtel de Néo-Tortuga, du moins tant qu'on
    possède quelque chose d'une quelconque valeur comme la vie pour
    commencer. Le guide du routard intergalactique informe le touriste
    inconscient que survivre à Néo-Tortuga est très simple : ne jamais
    montrer de signe de richesse, et surtout être très très paranoïaque.

    Bien entendu, à bord du Deep Purple, cargo de type VD-78 en voie de
    disparition, Milly savait tout cela. Elle savait aussi que pour trouver
    quelqu'un là-bas, la seule solution était de se rendre sur place.
    Personne n'avait de numéro de téléphone à Néo-Tortuga. Les gens qui se
    rendaient là-bas ne voulaient généralement pas être trouvé. Elle se
    demandait comment elle allait bien pouvoir retrouver la trace de son
    père. Elle se demandait pourquoi il était venu ici, abandonnant femme
    et enfant. Elle se demandait si sa mère avait réussit à le trouver.
    Elle l'espérait.

    Les autres membres d'équipage en savaient maintenant autant sur le
    système de Nausicaä. Ceux qui avaient des lacunes de se point de vue
    avaient eu tout le temps nécessaire pour se renseigner. Gon était
    ronchon comme d'habitude, Cid indéchiffrable, Lina excité comme jamais,
    B.R. résigné mais pas inquiet – pas pour lui en tout cas – et Timon ne
    semblait pas se soucié de leur destination. Ce dernier s'était montré
    un excellent compagnon durant le voyage. Il était intelligent quoique
    assez lent, toujours de bonne humeur et, fait remarquable, avait
    réussit le tour de force de ne pas se disputer une seule fois avec
    Milly. Sa patience semblait infinie. Son problème majeur d'après lui
    était qu'il ne maîtrisait pas sa propre force, mais il prenait
    suffisamment de précautions pour ne rien risquer d'abîmer. Il était en
    effet doté d'une masse musculaire des plus impressionnante. Lina avait
    tenté un bras de fer contre lui. Le duel avait duré une bonne minute,
    mais Timon l'avait finalement emporté sur elle. Aucun des autres
    membres du vaisseau n'avait tenu plus de dix secondes contre Lina avant
    cela. Bref, tout cela pour dire que personne à bord ne fut surprit
    lorsque six MS sortir soudain du nuage d'astéroïdes qui enveloppait le
    système. Lina fut la première dehors, suivi d'un peu plus loin par un
    Timon toujours près à rendre service et un B.R. remplit de conscience
    professionnelle. Milly pour ça par ne ressentit pas le besoin de les
    accompagner et resta au poste de pilotage du cargo avec Cid.

    Le combat qui suivit fut aussi bref et sanglant qu'ennuyeux et
    inintéressant. Les Pirates qui s'abaissaient à se genre de manœuvre
    n'était en générale que des petites frappes sans avenir qui n'avait pas
    plus de talent de pilote que de stratégie et ceux-ci n'échappait pas à
    la règle. Trente secondes et six carcasses défoncées de MS plus tard,
    les trois pilotes étaient de retour dans le Deep Purple, un peu
    frustrés mais néanmoins heureux d'avoir pu se dégourdir un peu le beam
    saber.

    « Bon, et maintenant ? demanda Cid une fois sortie du champ d'astéroïde. On va où ?
    - J'ai rendez-vous dans un pub de La Perle Noire dans deux jours,
    répondit Milly tranquillement. En attendant, je propose de visiter le
    coin, vendre le diamant de Lina, et éventuellement chercher des
    informations. Ca ne devrait pas être difficile de trouver de ragot sur
    mon père ici.
    - Vendre le diamant de Lina !!! Comment diable comptes-tu lui faire vendre sa pierre ? et tu comptes en tirer des bénéfices ?
    - Premièrement, cette pierre est trop grosse pour être monté en
    boucle d'oreille. Deuxièmement, Lina n'est pas intéressé par l'argent.
    Tu sais bien qu'elle na jamais été dans le besoin. En cas de pépin,
    elle peut toujours demandé une avance sur son argent de poche à son
    papounet !
    - J'imagine que tu as raison, admit l'ingénieur à regret.
    - Allez, détend toi. Je suis sur que tu vas retrouvé plein de copain flambeur là-bas !
    - ...
    - Je plaisantais, Cid.
    - Ah ? »

    Dans une partie non négligeable des histoires tels que celle-ci, on
    fini par voir apparaître un type plus ou moins charismatique, mais
    toujours avec quelques cotés franchement antipathiques. Parmi ces
    éléments déplaisant du personnage, il y a toujours cette manie de
    vouloir faire du tord au personnages principaux, pour une raison où
    pour une autre. Il y a aussi cette agaçante persistance du personnage
    jusqu'à la fin de l'histoire. Impossible de s'en débarrasser. Pire
    qu'un vieux sparadrap usagé. Bref, un sale type quoi. Il arrive aussi
    parfois qu'un tel individu aide quelques fois les personnes principaux
    pour une autre raison quelconque, généralement toujours déplaisantes en
    fin de compte.

    Il est également coutume de présenter ce personnage soit carrément
    au début de l'histoire, soit quand les héros entre dans sa zone
    d'influence. Une autre méthode consiste à attendre la première
    rencontre entre un des héros et le sale type.



    C'est un point véritablement très commun à ce genre d'histoire. Parfois
    même, plusieurs sales types prendront le relais quand le premier aura
    fini son job, voir faire changer le premier sale type de camp, ou plein
    d'autre cliché qu'on aime tant revoir encore et encore. Le lecteur
    n'attend que ça, un vrai sale type. Je ne voudrais pas décevoir mes
    lecteurs.

    Or donc notre sale type à se moment précis, était assis dans son
    fauteuil, le dos tourné à la caméra. Ok, ceci est un texte et il n'y a
    pas de camera dont il pourrait se cacher en lui tournant le dos, mais
    faites donc un effort d'imagination : vous le voyez dans son fauteuil
    vous tournant le dos. Cela me permettra de remettre la description du
    sale type à un autre moment. On n'est pas pressé après tout. Enfin bref
    il vous tourne le dos. Ainsi qu'à un homme venu le tenir au courant des
    derniers événements, lesquels semblaient tout particulièrement
    intéresser notre sale type. Non, il n'a pas encore de nom ! Arrêtez
    donc de m'interrompre tout le temps ! Enfin si, il a un nom, mais vous
    n'avez pas besoin de le connaître pour le moment. Bref...

    Quelques précisions s'imposent néanmoins : Le fauteuil du sale type
    était situé dans un bureau spacieux quoique largement encombré, un peu
    comme la chambre à couché d'un étudiant moyen. Ce bureau était lui-même
    situé au milieu d'une station spatial privée construite sur l'un des
    innombrables astéroïdes constituant la ceinture de Néo-Tortuga.

    « Le Deep Purple vient de franchir la frontière avec succès, fit l'homme debout dans le dos de notre sale type.
    - Bien, ça n'est pas vraiment étonnement. Elle vaut bien mieux que tout ces rats qui rodent par là-bas.
    - A vrai dire, le Best of Univers ne s'est pas montrer. Trois autres MS ont promptement détruit leurs agresseurs.
    - Elle est sur ce vieux rafiot ! Ca ne fait aucun doute !
    - Tu ne pense pas qu'elle aurait changé de MS ?
    - Ne soit pas stupide ! Elle n'en changerait pour rien au monde !
    Intéressant... elle s'est trouvé des alliés talentueux on dirait... et si
    le Deep Purple est ici, ça signifie que Cid l'accompagne. Et
    certainement un ou plusieurs mécano pour faire avancé se tas de
    rouille...
    - Si elle rejoins son père, les choses risques de devenir compliquées
    pour nous... ce n'est pas comme s'il avait besoin de renfort...
    - Hum... Elle ne sait rien des événements locaux. Je pense qu'on
    pourrait s'en faire une alliée. Se serait toujours ça de moins à
    combattre.
    - Mais si elle rencontre sont père...
    - Elle ne devrait pas le trouver avant un bon moment. Nous avons largement le temps... »




    * Personne ne sait exactement pourquoi le suffixe « Néo » est
    ajouté a se surnom dont l'origine remonte à des temps immémoriaux.
    Certaines personnes croient à une vieille légende terrienne, mais
    certaines personnes voient aussi des turfinuls bleu à couettes dans le
    même genre d'occasion...

    ** copyright de la Sirius Cybernetics Corporation ( gag ^^ )

    *** La Perle Noire ne procède en effet aucune atmosphère. Certains
    archéologues avancent l'hypothèse que Néo-Tortuga pu se développé ici
    grâce aux conditions absolument antipathiques qui régnait sur cette
    planète. Evidement, aucun archéologue n'a jamais eu le courage de se
    rendre sur place pour tenter de trouver des preuves. En tout cas, on
    n'en connaît aucun vivant dans toute la galaxie.


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